La psychogénéalogie est un domaine qui m'a toujours attirée, c'est donc tout naturellement que j'ai suivi cette formation en 2014. Elle était animée par Colette ESMENJAUD-GLASMAN, elle-même disciple de Anne ANCELIN-SCHÜTZENBERGER.
Chaque être humain est issu d’une famille qui a son histoire. Il y a, bien sûr, l’histoire racontée, mais aussi l’histoire inscrite dans les silences, les mimiques, les interdits, les maux du corps, les répétitions troublantes…
Nos anciens ont pu être marqués par des évènements dont l’impact émotionnel traverse les générations.
Anne ANCELIN-SCHÜTZENBERGER a formalisé ces transmissions et a repéré leurs différentes modalités.
L’individu n’est plus appréhendé dans sa seule dimension personnelle et « horizontale » mais il est remis au sein de sa génération. En thérapie, cette dimension est présente et évidente.
La psychogénéalogie m’a permis d’ajouter une autre dimension, plus « verticale », à mon travail. Le patient ne réfléchit pas seulement sur lui-même mais je l’accompagne dans sa découverte de son inscription dans le temps et sa famille. L'exploration des liens transgénérationnels permet de s'en dégager. En en prenant conscience, il est possible de clore des deuils non faits, de découvrir des répétitions inconscientes, des secrets de famille ou de dénouer des loyautés inconscientes.
J’apprécie de pouvoir aider le patient à clarifier son appartenance et ainsi augmenter la conscience de son identité propre. Ces deux attitudes se complètent et s’enrichissent. Le patient fait ses choix de vie en conscience et avec davantage de liberté car il s'affranchit du « poids » des générations.
Chaque être humain est issu d’une famille qui a son histoire. Il y a, bien sûr, l’histoire racontée, mais aussi l’histoire inscrite dans les silences, les mimiques, les interdits, les maux du corps, les répétitions troublantes…
Nos anciens ont pu être marqués par des évènements dont l’impact émotionnel traverse les générations.
Anne ANCELIN-SCHÜTZENBERGER a formalisé ces transmissions et a repéré leurs différentes modalités.
L’individu n’est plus appréhendé dans sa seule dimension personnelle et « horizontale » mais il est remis au sein de sa génération. En thérapie, cette dimension est présente et évidente.
La psychogénéalogie m’a permis d’ajouter une autre dimension, plus « verticale », à mon travail. Le patient ne réfléchit pas seulement sur lui-même mais je l’accompagne dans sa découverte de son inscription dans le temps et sa famille. L'exploration des liens transgénérationnels permet de s'en dégager. En en prenant conscience, il est possible de clore des deuils non faits, de découvrir des répétitions inconscientes, des secrets de famille ou de dénouer des loyautés inconscientes.
J’apprécie de pouvoir aider le patient à clarifier son appartenance et ainsi augmenter la conscience de son identité propre. Ces deux attitudes se complètent et s’enrichissent. Le patient fait ses choix de vie en conscience et avec davantage de liberté car il s'affranchit du « poids » des générations.